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Genèse de Dragonika

Première période

Au com­men­ce­ment naquit Autarky (7 onde­pluie 582 de la 2e Ère [avril 2014])*, sous l’impulsion d’Ilmanech, la guilde s’épanouissait dans la bonne humeur, les membres allaient sau­ver la veuve et l’orphelin, net­toyer d’anciennes mines, exor­ci­ser des démons de ruines et pen­dant leur temps libre, ils s’adonnaient à la cui­sine, la forge ou d’autres acti­vi­tés plus ou moins avouables. Bref, tout était parfait !
Un beau jour ou peut-être une nuit, près d’un lac nous étions endor­mies quand sou­dain… (plan­tai­sons 582) Une horde de Rougegardes s’abattit sur nous, aus­si bien équi­pé qu’un nou­veau-né face à un guar sau­vage (pas un guar nain, un adulte sau­vage), nous nous défen­dirent tant bien que mal (plu­tôt mal en ce qui me concerne, mais c’est une autre his­toire), ce fut la déban­dade dans nos rangs. Deux heures après, le nuage de pous­sière géné­ré par le com­bat s’estompa, les Rougegardes étaient par­tis, après avoir dépouillé les cadavres.
Haniiballa, Herector, Plonplon Valti, et votre ser­vi­teur qui avaient sur­vé­cu (ils s’étaient enfuis au bon moment, donc) revinrent sur les lieux, cher­chant une res­pi­ra­tion, un cœur qui bat, par­mi les corps jon­chant le sol, mais rien. Un cer­tain nombre d’Autarkien n’étaient pas là. Étaient-ils pri­son­niers ? Avaient-ils réus­si à s’enfuir ? Face à ces ques­tions sans réponses, nos sur­vi­vants déci­dèrent de par­cou­rir la région à leur recherche. Durant deux mois, ils ne las­sèrent pas d’aller de hameau en hameau, de ferme en ferme, posant des ques­tions sur d’éventuels sol­dats du domaine Aldemri. Ils réus­sirent ain­si à en retrou­ver quelques-uns et à recru­ter de nou­veaux membres, mais aucune nou­velle d’Ilmanech et de ses officiers.
Alors, Haniiballa (entre la Fête des mar­chands et le Repos du soleil en haut­ze­nith [juillet]) prit la déci­sion que tout le monde redou­té et espé­ré, tout à la fois :
Il fal­lait faire une croix sur le pas­sé, et pour cela il était néces­saire de créer une nou­velle guilde afin d’éviter aux nou­veaux venus d’avoir l’impression d’être dans une guilde d’une autre époque.
Haniiballa fon­da la guilde Dragonika et prit pour la secon­der Plonplon et Lesaonar (votre ser­vi­teur) tout en conti­nuant de consul­ter ses anciens com­pa­gnons d’armes qu’étaient Herector et Valti.
Ainsi donc, une ère nou­velle commença…

Deuxième période

Jusqu’à la mi-semailles 2E 583 [mars 2015], la guilde pros­pé­ra, accueillant de nou­veaux membres pro­ve­nant des quatre coins de Tamriel. Puis, pour des rai­sons incon­nues de tous (cer­tai­ne­ment dû aux défer­le­ment sou­dain d’a­ven­tu­riers et mer­ce­naires sans foi ni loi débar­qués de nulle part), elle péri­cli­ta petit à petit jus­qu’à ce que même des membres his­to­riques tels que Herector et Valti  partent, le pre­mier avec une cour­ti­sane quant au second, après qu’il eut tra­hi un des offi­ciers, il rejoi­gnit des mercenaires.

En mi-l’an [juin], Haniiballa, sous pré­texte de besoin de repos, s’ab­sen­ta, confia la ges­tion de la guilde à ses seconds Plonplon et Lesaonar, et pro­mu ce der­nier Seigneur Dragon. Ils tinrent la guilde tant qu’ils purent, mais les faits étaient là, elle périclité !

Un soir de vifa­zur [août], Plonplon annon­ça à Lesaonar qu’il par­tait décou­vrir d’autres mondes. Après une beu­ve­rie ils se séparèrent.

Lesaonar était Dragonika, et Dragonika était Lesaonar !

Troisième période

Lesaonar erra ain­si seul, sym­pa­thi­sa avec les Amazones de Tamriel une guilde encore forte à cette époque là, mais qui sur­vit désor­mais uni­que­ment grâce au dévoue­ment de Charaza (Les Amazones de Tamriel sont main­te­nant entre les mains de Nando et Lesaonar).
Lors du Festival des sor­cières (13 âtre­feu 583) alors qu’il ten­tait de net­toyer une antre, une mage du nom de Malmara vint lui prê­ter main-forte. De cette aide naquit une forte ami­tié (nous n’en sau­rons pas plus), Lesaonar l’en­rô­la au sein de Dragonika, la nom­ma Princesse Dragon et pre­mière conseillère. Ternel et Thirieus des Draconis de la Deuxième période fai­saient régu­liè­re­ment des appa­ri­tions en toute dis­cré­tion. Lesaonar ne leur posa jamais de ques­tion. Suivie l’ar­ri­vée de Nayas (puis son départ) et de Lulupelle, et enfin celles de Vondawitt, Leotep, Elethan.

* Lesaonar cher­chait à se mettre au ser­vice de la reine Ayrenn Arana Aldmeri depuis le 31 des semailles en ren­trant dans l’ordre des Yeux de  la Reine.