Compagnons

Où trouvez les compagnons

L’elfe noire Mirri Elendis, se trouve devant la crypte funeste de Vulpinaz au Nord, non loin de l’o­ra­toire du même nom.

Quand à Bastian, vous le ren­con­tre­rez sur une petite île au sud-est de Lewallin.

Compagnon dans votre maison

Lorsque vous aurez atteint 1550 en rela­tion avec votre com­pa­gnon, vous déblo­que­rez une mini série de quêtes, celles-ci une fois effec­tuées vous per­met­tront d’ob­te­nir le suc­cès Place pour deux, et ain­si pla­cer votre com­pa­gnon dans votre demeure de la même manière que les Invités.

Généralités

Pour accéder aux fenêtres du compagnon vous devez lui parler.

Les compétences

Compétences de Bastian

Lettre d’Inalieth

Cher maître Bastian,

J’espère que vous vous sou­ve­nez de moi. Vous devez avoir quinze ans, à pré­sent, vous êtes presque adulte. Vous étiez si petit la der­nière fois que je vous ai vu, mais j’ai sou­vent pen­sé à vous au cours de ces années.

J’étais la ser­vante de madame votre mère, avant même qu’elle n’é­pouse votre père. Je me suis aus­si occu­pé de vous un temps, après le décès de madame. Je vous ai ame­né à la mai­son Silvelle, à Daguefilante, où j’ai tra­vaillé quelques mois. Mais j’ai dû par­tir alors que vous étiez encore petit.

Vous devez savoir que vous étiez la prin­ci­pale pré­oc­cu­pa­tion de votre mère lors­qu’elle est tom­bée malade et s’est sue mou­rante. Elle a mis de côté des bijoux de sa propre dot pour finan­cer votre édu­ca­tion et votre vie. Elle m’a deman­dé de vous mener chez votre sœur dès que vous pour­riez quit­ter la mai­son Silvelle. Clairène est un peu plus âgé que vous, et elle était déjà bien mariée lorsque votre père est tom­bé en dis­grâce. Mais il semble que les Silvelle ont pré­fé­ré se char­ger de vous. J’ai deman­dé plu­sieurs fois quand vous pour­riez par­tir, sans rece­voir de réponse satis­fai­sante. Puis l’on m’a congédiée.

Je réside à pré­sent au vil­lage de Rougepel, où je tra­vaille à l’au­berge du Horqueur Hardi. Je pos­sède de la famille au Bois de Graht et je suis à mon aise. Si vous m’y écri­vez, ou si vous venez un jour dans cette par­tie du monde, je serais ravie de rece­voir de vos nouvelles.

Avec ten­dresse,
Inalieth